C'était une de ces nuits où on pense que, comme toute les autres nuits, rien ne va changer. Une de ces nuits où, une chose, aussi infime soit-elle, peux boulverser une vie. Ce fut le cas de Grégoire Téron, gardien de nuit de l'aile H du musée du Louvre, à Paris. Comme tout les soirs depuis trois ans déjà, il prit le relais de son collègue, Jean Pierreneuve. Devant les télévisions des caméras de surveillance était assis Gilbert Print. Bref, ce soir-là, Grégoire prit, comme à son habitude, sa lampe torche son talkie-walkie et son revolver. Il commença donc sa première ronde, tranquille, comme d'habitude, après avoir prit son café fort avec deux sucres. Toujours avec deux sucres. Il arpentait l'aile H du musée. Toujours les mêmes tableaux, les mêmes sculptures et autres œuvres d'arts... Ici, un Stratio: un homme nu, le corp tatoué de motifs noirs, avec une trompette, assis sur une montagne de femmes nues, avec les mêmes tatouages. L'une d'elle remonte le bras de l'homme qui tien la trompette. Stratio a fait ressortir ces deux personnages grâce à un magnifique jeu de relief et de lumières.Là, par contre, le meilleur tableau de Vallère: dans le fond, une magnifique ville mésopotamienne très animée: un marché y était organisé: les marchands de fruits et légumes, d'épices, de tapisseries semblais crier à qui voulait les entendre qu'ils vendaient les meilleurs produits de toute la Mésopotamie. Au premier plan, deux génies: Akatàla, le génie du savoir, et Bézob, le génie de la sagesse. Chacun semblait songeur, pensif, loin, très loin de l'agitation du marché. Akatàla tenait entre ses mains une tablettes, et Bézob, quant à lui, écrivait dessus: Vallère à voulu représenter la naissance de l'écriture cunéiforme. Grégoire connais bien tout ces tableaux, et les trouve presque banal, comparé à son préféré: "
la traversée du Nil" de Katheriné Belotchkøv. Ce tableau, il le trouvait plus vivant, plus impressionnant que la Joconde elle-même. Ce tableau représente le Nil avec, d'un côté, les majestueuses pyramides de Gizeh et, de l'autre, la vallée des rois avec, de ci de là, une entré de tombeau à moitié ensevelis par le sable. Dans l'eau avançait une barque. dedans se tenait deux personnages: un homme et une femme. L'homme, qui ramait, se tenait de dos: on ne distinguait de lui que ses cheveux noirs et courts. La femme, quant à elle, avait des cheveux assez longs, roux et bouclés. Elle avait un visage magnifique, malgré qu'elle soit blanche comme neige. Elle n'était pas Égyptienne. Le ciel était gris, mais les rares trous qu'ils laissaient faisaient passer quelques rayons e soleil, qui percutait le visage de la femme, et rendait ses cheveux très brillant. Ce tableau, bien que parfait, Grégoire le trouvait étrange. En effet, il avait l'impression que la position des rames changeait, et même que, des fois, la barque avançait ! Après deux rondes, Grégoire s'arrêta net devant le tableau: la braque était vide !! Il prit lentement son talkie-walkie pour demander à gilbert s'il avait vu quelque chose d'anormal quand, tout à coup, ce fus le grand noir.
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Le lendemain, les journaux titraient: "un gardien du Louvre assomé avec une rame". Trois mois plus tard, Grégoire se réveilla de son coma. Le docteur vint alors le voir. «Vous avez eut de la chance, monsieur. Ce coup à la tête aurait pu vous être fatal. Un peux plus et on vous perdait.». Puis, le docteur reparti, et Grégoire le reconnu: c'était l'homme de la barque !
J'avoue que, pour cette nouvelle, je me suis inspiré d'une de mes rédactions de français. Le sujet: "un gars avait un tableau avec des gens dans une barque, cette barque avançait". Il fallait continuer. Le reste est de moi, les tableaux et la sculpture n'existe pas. La sculpture (l'homme nu) est inspiré d'une scène du clip de "The show must go on" de Queen (http://www.youtube.com/watch?v=4ADh8Fs3YdU: 0.24 -> 0.27). Enjoy ;)
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